La structure de l'univers que nous connaissons se complexifie au fur et à mesure du temps que nous connaissons. Le monde s’est formé en lui et s’est autorégulé selon des lois qui se sont forgées au fur et à mesure que l’ordre apparaissait, car tout système tend à l’ordre, et à l’équilibre, nous le savons. Depuis l’origine, l’univers se dirige vers un ordre de plus en plus complexe.
L’énergie a
augmenté au fur et à mesure de l’extension de l’univers, mais l’univers ne
s’est étendu que dans ses propres limites possibles. De l’extérieur, il ne ferait
que prendre la place qui lui est dévolue, mais cela signifie que l’expansion doit
cesser dans les limites de sa propre inertie, car l’univers a déjà atteint la
taille définie par ses lois propres en termes d’espace et de temps, nous ne
voyons que les dernières traces visibles de cette expansion ; c’est autre
chose qui existe et que nous confondons avec l’expansion, sans qu’elle le soit,
et qui est une rotation du qualium
cosmologique primordial O sur lui-même, dans lequel existe l’univers.
L’univers est un
système dynamique autorégulé et en équilibre constant. Dire que l’expansion a lieu
et s’arrête dans ses propres limites, en fonction de sa propre inertie, dans le
même temps que l’idée d’une rotation de l’univers sur lui-même qui donne la
sensation d’une expansion spirale en raison de la rotation du qualia dont le centre est plus petit que
les parties extrêmes est sans doute osée à notre époque.
Nous avons l’impression que l’univers
est toujours en expansion parce nous en observons encore les traces et parce qu’il
tourne sur lui-même comme une toupie, et qu’il est plus large d’un côté que de
l’autre, selon notre point de perspective, mais nous savons que toute
perspective déforme le Réel, en lui donnant un ordre arbitraire. Il aurait un
mouvement de rotation sur lui-même, mouvement infini au demeurant qui serait
fonction du mouvement du qualium O.
Alors l’univers serait très stable, dans ce mouvement rotatif, et l’expansion
ne serait plus qu’un effet d’optique, vue depuis nous : une illusion
d’optique de l’observateur liée à l’inertie.
L’expansion de l’univers serait plutôt
une certitude scientifique vraie et valide aux conditions initiales de
l’univers, mais devenue une perception ou une observation qui cessera avec le
temps, si j’ai raison. La vraie origine c’est le premier Big Bang, il y en a eu
deux consécutifs, celui que nous connaissons n’est pas le second, mais une
explosion tierce consécutive au second Big Bang où commence la Réalité et
l’univers.
L’expansion illimitée de l’univers
produirait à terme l’effondrement de l’univers sur lui-même, en raison de la
perte de la force gravitationnelle due à cette expansion, qui induirait une
dilatation de l’univers et donc un point d’effondrement, mais cet effondrement
serait stoppé net au moment où ce qui s’effondre sur soi atteindrait le point
où ce qui est est encore régi par la
gravitation, soit le cœur de l’univers. De cette sorte, on conçoit qu’il ne
puisse pas y avoir de Big Crash global, car à partir du cœur de l’univers
l’ordre finirait par se réinstaurer de sorte qu’une autre expansion
apparaîtrait depuis le cœur de l’univers et reprendrait son développement comme
‘nouvel’ univers. C’est ce processus d’effet ballon ou rebond que les
scientifiques pourraient supposer, à partir de la théorie de l’expansion de
l’univers, mais qui n’a rien de concret.
La réalité, c’est que si nous pouvions
observer des systèmes très lointains du nôtre, sur une longue échelle de temps,
nous devrions les voir dès maintenant s’éloigner et se rapprocher, puis
s’éloigner à nouveau, et se rapprocher, tandis que d’autres systèmes se
rapprocheraient dans le même temps que l’éloignement des uns et ainsi de suite,
mais je doute que le temps universel nous permette si facilement cette
observation, compte tenu de notre temps humain, qui est infime en comparaison.
Pour la science, l’expansion s’accélère,
mais pour mes voix, cette accélération est liée à un effet d’optique fonction
de la rotation du qualium primordial
O sur lui-même, et liée aussi à l’arrêt progressif de l’extension du qualium O, comme si l’extension du qualium O avait freiné sa propre vitesse
de rotation, sur toute sa longueur de temps, en provoquant un effet d’inertie
sur l’univers, effet que la cessation de l’expansion voit disparaître, ce qui
provoque un effet d’accélération de la rotation du qualium O qui en réalité ne fait que se mettre au diapason de sa
vitesse de croisière propre.
L’univers serait donc en passe de se
stabiliser sous sa forme tal, et si mes voix ont raison, on devrait observer la
décélération de l’expansion et l’accélération du mouvement rotatif de l’univers
sur lui-même.
Ainsi où la rotation s’accélère puis se
stabilisera, l’extension elle aura tendance à décélérer et à se stabiliser
aussi, nous vivons selon mes voix la période de l’arrêt final de l’extension de
l’univers. Je ne sais si cela est une réalité, mais je trouve l’idée belle,
simple et logique : l’on a à nos yeux d’observateurs, fondu l’un dans
l’autre deux aspects distincts de l’univers : son expansion en soi, et sa
rotation au diapason du qualia O, et
la première aurait freiné la seconde jusqu’à son propre terme propre.
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