vendredi 24 janvier 2025

Des qualia aux cordes, La philosophie des qualia

À la suite du premier Big Bang, il y a donc huit fois un second Big Bang. Chacun de ces huit Big Bang II produit un monde différent en fonction de la vibration, primordiale pour les uns et non primordiale pour les autres, des sons et des lumières.

Dans l’ensemble, il y a 10 sons mais seulement 7 peuvent être présents dans les qualia E. Ce que cela signifie c’est que le son change la lumière, donc la vibration change de nature de sorte que celle nouvelle vibration à son tour change le son.

Il y a 7 sons primordiaux, et 4 lumières primordiales, ceci représente 28 vibrations différentes, qui sont les 24 cordes simples et les 4 cordes primordiales.

Après le second Big Bang, il y a sept vibrations sonores qui informent la lumière sous une forme froissée, qui demeure à l’état informel sous forme de fils de lumières, ce froissage même fait du son le milieu de la lumière, mais c’est une conséquence et non une cause, ceci décrit l’état fondamental de ce qui est. Tout semble indiquer que la vibration sonore piège la lumière et lui donne sa forme, ce qui induit, par contre coup, que la lumière piège à son tour le son pour l’informer selon les trois sonorités qui contribueront à former les 7 idées de monde.

Ce qui est significatif, c’est que dans cette nouvelle configuration, où le son est piégé dans la lumière, chaque couleur va piéger un son propre, mais il restera toujours une couleur de lumière qui n’aura pas de son en binôme, dans le qualium E cosmologique, et qui formera la couleur dominante de ce qualium, l’autre chose que l’on peut remarquer, c’est que le qualium noir Ds présente une structure où sons et lumières ne peuvent pas se relier les uns aux autres, et restent déliés. Selon la couleur restée isolée, une combinaison de quatre qualia E formera une corde.

Les cordes complexes formées par la combinaison des quatre cordes primordiales E et de cordes simples seront actives, et interagiront entre elles pour former les constituants du monde quantique, mais les cordes complexes formées par une combinaison comportant la corde primordiale complexe, supérieure à 2 présences, seront inactives et n’interagiront pas avec les autres cordes dites actives. Les cordes complexes formées par une combinaison de quatre cordes primordiales ou de cordes simples mais où la présence de Ds est égale à 1 seront actives et produiront à terme les premiers constituants du monde quantique.

Si on a une combinaison de deux cordes complexes actives et de deux cordes complexes inactives, alors le groupe de cordes complexes résultant existera de manière active mais ne pourra interagir qu’avec des groupes de cordes complexes issues de combinaison identique. Les cordes primordiales vibrent en fonction des qualia E dont ils disposent, la variation n’est pas infinie. Les interactions simples sont en nombre fini mais les combinaisons de type complexe sont infinies. Ces groupes de cordes complexes définissent des modes vibratoires singuliers pour chaque type d’éléments de l’état quantique à venir.

De cette manière on comprend qu’il y a des cordes complexes actives et des cordes complexes inactives. La valeur active ou inactive de chaque corde complexe est notée  


pour les cordes actives et 

pour les cordes inactives. Cette valeur est une constante.

Les états élémentaire et unifié diffèrent en raison de la « toponomie » du son et de la lumière. Le terme toponomie est inexact, puisqu’il induit l’idée d’espace, et au sens strict, il n’y a ni espace ni temps à ce stade de l’évolution de l’immatière, mais il y a cette présence que l’on nomme espace initial et qui est la présence initiale. Cependant il y en a déjà l’idée : il y a l’idée de l’image et de l’idée d’espace tout comme il y a l’idée et l’image de temps, qui ne sont pas encore manifestés mais en l’état comme encore des potentiels. L’état élémentaire contient toute l’évolution de l’immatière à l’état d’idée (sons) et d’image (lumière), et ces idées et images contiennent toutes les informations nécessaires à la réalisation de la matière.

À l’état unifié, ce potentiel devient puissance, au sens ancien du terme, soit la capacité de se développer de cette idée et de cette image, jusqu’à leur réalisation finale, la matérialité en acte. La toponomie renvoie donc à l’idée et l’image de l’espace initial, qui contiendra l’espace et aussi le temps, puisque le temps est, comme l’espace, une variation de la présence initiale, la même chose, observée de deux manières différentes. C’est cette présence qui devient par la suite espace-temps puis temps, et espace, en fonction de la formation des réalités relatives, mais aussi de la mesure qui en est faite, sur un mode temporel, ou spatial.

 

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