À la suite du premier Big Bang, il y a
donc huit fois un second Big Bang. Chacun de ces huit Big Bang II produit un
monde différent en fonction de la vibration, primordiale pour les uns et non
primordiale pour les autres, des sons et des lumières.
Dans l’ensemble, il y a 10 sons mais
seulement 7 peuvent être présents dans les qualia
E. Ce que cela signifie c’est que le son change la lumière, donc la
vibration change de nature de sorte que celle nouvelle vibration à son tour
change le son.
Il y a 7 sons primordiaux, et 4 lumières
primordiales, ceci représente 28 vibrations différentes, qui sont les 24 cordes
simples et les 4 cordes primordiales.
Après le second Big Bang, il y a sept
vibrations sonores qui informent la lumière sous une forme froissée, qui
demeure à l’état informel sous forme de fils de lumières, ce froissage même
fait du son le milieu de la lumière, mais c’est une conséquence et non une
cause, ceci décrit l’état fondamental
de ce qui est. Tout semble indiquer que la vibration sonore piège la lumière et
lui donne sa forme, ce qui induit, par contre coup, que la lumière piège à son
tour le son pour l’informer selon les trois sonorités qui contribueront à former
les 7 idées de monde.
Ce qui est significatif, c’est que dans
cette nouvelle configuration, où le son est piégé dans la lumière, chaque
couleur va piéger un son propre, mais il restera toujours une couleur de
lumière qui n’aura pas de son en binôme, dans le qualium E cosmologique, et qui formera la couleur dominante de ce qualium, l’autre chose que l’on peut
remarquer, c’est que le qualium noir
Ds présente une structure où sons et lumières ne peuvent pas se relier les uns
aux autres, et restent déliés. Selon la couleur restée isolée, une combinaison
de quatre qualia E formera une corde.
Les cordes complexes formées par la
combinaison des quatre cordes primordiales E et de cordes simples seront
actives, et interagiront entre elles pour former les constituants du monde
quantique, mais les cordes complexes formées par une combinaison comportant la
corde primordiale complexe, supérieure à 2 présences, seront inactives et
n’interagiront pas avec les autres cordes dites actives. Les cordes complexes
formées par une combinaison de quatre cordes primordiales ou de cordes simples
mais où la présence de Ds est égale à 1 seront actives et produiront à terme
les premiers constituants du monde quantique.
Si on a une combinaison de deux cordes
complexes actives et de deux cordes complexes inactives, alors le groupe de
cordes complexes résultant existera de manière active mais ne pourra interagir
qu’avec des groupes de cordes complexes issues de combinaison identique. Les
cordes primordiales vibrent en fonction des qualia
E dont ils disposent, la variation n’est pas infinie. Les interactions simples
sont en nombre fini mais les combinaisons de type complexe sont infinies. Ces
groupes de cordes complexes définissent des modes vibratoires singuliers pour
chaque type d’éléments de l’état
quantique à venir.
De cette manière on comprend qu’il y a des cordes complexes actives et des cordes complexes inactives. La valeur active ou inactive de chaque corde complexe est notée
pour les cordes actives et
pour les cordes inactives. Cette valeur est une constante.
Les états
élémentaire et unifié diffèrent
en raison de la « toponomie » du son et de la lumière. Le terme toponomie est inexact, puisqu’il induit
l’idée d’espace, et au sens strict, il n’y a ni espace ni temps à ce stade de
l’évolution de l’immatière, mais il y a cette présence que l’on nomme espace
initial et qui est la présence initiale. Cependant il y en a déjà l’idée :
il y a l’idée de l’image et de l’idée d’espace tout comme il y a l’idée et
l’image de temps, qui ne sont pas encore manifestés mais en l’état comme encore
des potentiels. L’état élémentaire
contient toute l’évolution de l’immatière à l’état d’idée (sons) et d’image
(lumière), et ces idées et images contiennent toutes les informations
nécessaires à la réalisation de la matière.
À l’état
unifié, ce potentiel devient puissance, au sens ancien du terme, soit la
capacité de se développer de cette idée et de cette image, jusqu’à leur
réalisation finale, la matérialité en acte. La toponomie renvoie donc à l’idée
et l’image de l’espace initial, qui contiendra l’espace et aussi le temps,
puisque le temps est, comme l’espace, une variation de la présence initiale, la
même chose, observée de deux manières différentes. C’est cette présence qui
devient par la suite espace-temps puis temps, et espace, en fonction de la
formation des réalités relatives, mais aussi de la mesure qui en est faite, sur
un mode temporel, ou spatial.
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