Ce qui est intéressant, c’est que nos
constantes cosmologiques ne sont constantes que dans nos dimensions, (x,y,z,t),
mais il y a 22 dimensions, sept d’espace, sept de temps, sept d’espace/temps,
et la dernière qui est une non dimension, dans le contexte d’une réalité
relative fondée sur (t7,e6,e7,et7,d22),
soit sur (t,y,x,z,d22) par exemple, la dimension 22 sera la
dimension cachée de cette réalité relative, réalité relative qui partagera une,
plusieurs ou toutes ces dimensions avec le complexe de réalités relatives dans
lequel elle a pris corps, dans notre Région de l’univers, ce qui signifie aussi
que notre Région de l’univers sera reliée par deux dimensions à la Région de
l’univers à partir de laquelle elle est apparue, ces deux Régions seront liées
l’une à l’autre, par la dimension e6,
et par la dimension 22 qui sera présente dans toutes les réalités relatives, et
dans toutes les Régions, mais comme une non-dimension, elle liera donc les
réalités relatives entre elles.
Les constantes cosmologiques peuvent
différer grandement des nôtres dans d’autres réalités relatives, en d’autres
termes, notre système de référence défaillant (il lui manque une dimension),
(x,y,z,t) est absolu pour nous, mais relatif dans l’univers. À partir de ceci,
on peut imaginer n’importe quel système de référence, qui soit valide
scientifiquement, sans rien préjuger de sa valeur de vérité.
Pour définir un espace-temps absolument
relatif, il suffit d’une relation d’une origine avec deux dimensions
spatiotemporelles, l’une constituée d’une dimension spatiotemporelle unique, et
de la dimension cachée de l’univers, et l’autre constituée de deux dimensions
d’espace et d’une dimension de temps.
Donc : R(O(A1, Ω2)),
où O est soit le point d’apparition de notre réalité relative propre, soit le
commencement de l’existence de notre Région de l’univers, et R, la relation
entre cette origine et les dimensions de l’espace-temps concerné. Dans notre
référentiel singulier, on aura donc R(O(t,y,x,z,d22)), où A1
est (t,y,x) et Ω2 est (z,d0).
Cela signifie qu’à l’origine l’espace et
le temps ne sont pas non plus dissociés, la rotation spirale du point d’origine
aurait donc favorisé la dissociation de l’espace et du temps, au point critique
de l’apparition de l’espace-temps. Avant ce point critique, dans la
manifestation qualique, il existe quelque chose qui n’est ni espace ni temps,
ni espace-temps, mais milieu non dissociatif portant en germe la potentialité
de l’un et l’autre, donc le passage du monde qualique au monde quantique
intervient lorsque ce milieu se différencie et se discrimine progressivement en
espace-temps, jusqu’au seuil critique où il apparaît comme tel.
Dans l’ordre, sauf erreur de ma
part :
Sept états de temps : présence (t1),
infini (t2), vide (t3), vague (ondulatoire) (t4),
chiffonné (t5), spiral (soufflet) (t6), flèche
(irréversible) (t7).
Sept états d’espace : présence (e1),
infini (e2), vide (e3), profondeur fluide non temporelle
(différente de z) (e4), chiffonné (e5), longueur y (e6),
largeur x (e7).
Sept états d’espace/temps :
présence (et1), infini (et2), vide (et3), flux
ondulatoire (et4), tissage (intrication) (et5),
intervalle (et6), profondeur (z) (et7).
Et un état nul, une non-dimension, ni
spatiale, ni temporelle, ni spatiotemporelle, mais neutre, et en réalité,
plutôt une anti-dimension, comme le fil qui coud toutes les autres dimensions
de l’univers comme un seul ensemble.
Tout référentiel fait appel à certains
de ces états de l’espace, du temps et du spatiotemporel. Chacun de ces états
fondent des dimensions différentes, et donc des référentiels différents. C’est
aussi ce qui produit l’idée erronée d’univers multiples, en réalité, il n’y a
qu’un seul univers, mais de multiples réalités qui s’enchevêtrent souvent, et
qui sont fondées sur les lois régissant chaque Régions de l’univers :
chaque Région est en effet présente dans les suivantes, de sorte que dans notre
Région sont présentes les six autres Régions, qui peuvent donc générer dans
notre Région des réalités relatives très diverses et fondées sur la combinaison
des lois de chaque Région indépendante.
L’espace-temps que nous connaissons
n’est donc pas la seule chose que « colle » l’antimatière, dans la
mesure où il y a 21 dimensions qui structurent la matière visible, plus une non
dimension, il y a d’autres formes d’espace-temps, que nous ne connaissons pas.
Dans l’espace à l’état initial puis dans l’espace-temps puis dans l’espace et
le temps, se forgent 21 dimensions qui formeront selon leurs combinaisons de
nombreuses possibilités d’espaces et de temps, dans lesquels émergera cette
matière visible, et une seule dimension, la dimension 22 ou 0 qui est une
non-dimension, qui sera aussi la dimension commune de l’antimatière, de la
matière sombre et de la matière visible.
La dimension 22 et l’antimatière sont
donc les colles des espaces et temps, observables ou non, mais ne se confondent
pas l’une l’autre. Créer de l’antimatière, c’est rendre réel quelque chose qui
ne l’est pas, dans des dimensions dans lesquelles elle ne devrait pas être,
c’est donc rendre réel non seulement la dimension 22 qui alors devient une
dimension et cesse d’être une non dimension, mais aussi les 17 autres
dimensions qui ne doivent pas exister
dans l’espace-temps à quatre dimensions de notre réalité relative, si nous
voulons que notre espace-temps reste opérationnel comme tel.
Créer antimatière et dimensions dont la
dimension 22, c’est créer les conditions de l’effondrement de l’univers. De la
même manière, il y a autant de matière sombre que de matière visible :
elles existent dans les mêmes proportions. Cependant, la matière visible que
nous connaissons est une partie infime de la matière visible existante
réellement, puisqu’elle ne concerne qu’un seul espace-temps et cinq
dimensions : un seul complexe de réalités relatives. Le reste, la matière
visible existante dans d’autres combinaisons de dimensions, nous demeure
inconnue ; de cette manière, la matière sombre que nous connaissons nous
semble plus importante que la matière visible, elle ne l’est pas. C’est la
raison pour lesquelles les autres réalités relatives peuvent nous être
invisibles, si elles n’existent pas dans le même espace-temps ou les mêmes
dimensions que nous.
Rendre visible la matière sombre, qui
existe dans la dimension 22, c’est rendre réelles et la matière sombre, et la
dimension 22, c’est mettre en danger la structure de l’univers, en mettant en
danger la structure même de la matière visible, issue des relations entre les
21 dimensions, qui représentent autant de présence d’espace-temps qu’il y a de
possibilités de combinaisons entre les dimensions. Si les 17 autres dimensions
devenaient réelles dans notre espace-temps à cinq dimensions, cet espace-temps
serait disloqué comme tel, et notre « univers » s’effondrerait comme
tel.
Ceci ne peut arriver que si nous voulons
créer ou rendre visible, ce qui revient au même, de l’antimatière ou de la
matière sombre, ou encore la dimension 0, car alors nous créons des
singularités multiples, qui à terme provoqueraient l’effondrement de notre
univers. Nous avons donc la responsabilité de protéger notre univers de
nous-mêmes, et au vu de la manière dont nous savons protéger notre propre
humanité de nous-mêmes, je doute que nous ayons l’intelligence et la sagesse de
nous contenter de la seule théorie et de sa seule validation mathématique.
Ce que nous nommons les Régions de la
Réalité et de l’univers sont donc les sept différents états de cette Réalité et
de l’univers qui coexistent dans l’état classique d’une manière intriquée, et
dans nos réalités relatives, et ces Régions sont bâties sur la même structure
que notre espace-temps propre : une dimension de temps singulière, une
dimension spatiotemporelle singulière et deux dimensions d’espace, plus la dimension
22. Ce sont donc les dimensions d’espace qui rendent possible la communication
entre les différentes Régions, tout comme entre les différentes réalités
relatives et la non-dimension. On retrouve tous les états de ces régions
intriquées les unes dans les autres au fur et à mesure de leur apparition,
jusque dans l’état classique où elles coexistent toutes, ce qui fonde les 21
dimensions et la dimension 22, et la condition de possibilités de toutes nos
réalités relatives.
Dans chacun des sept espaces-temps
possibles, liés à ces sept Régions, la dimension de temps et la dimension
spatiotemporelle seront différentes, mais elles se conjugueront avec deux
dimensions d’espace, et comme il n’y a que sept dimensions d’espace,
nécessairement, les dimensions d’espace seront en partie communes les unes les
autres. Si les dimensions apparaissent l’une après l’autre, alors il faut
comprendre que chaque Région aura une dimension d’espace commune avec la
précédente, de sorte que chaque Région sera liée à la Région suivante, mais
jamais par la même dimension d’espace. De la plus ancienne à la plus jeune, ces
Régions fondent l’ensemble de la structure dans lesquelles peuvent exister des
réalités relatives, et donc la vie.
On peut donc déduire ce qui suit :
Région
1 : R(O(t1,e1,et1, d0)) soit : R(O(présence,
présence, présence, dimension cachée))
Région
2 : R(O(t2,e1,e2,et2, d0)) R(O(infini,
présence, infini, infini, dimension cachée))
Région
3 : R(O(t3,e2,e3,et3, d0)) R(O(vide,
infini, vide, vide, dimension cachée))
Région
4 : R(O(t4,e3,e4,et4, d0)) R(O(vague,
vide, profondeur fluide, flux, dimension cachée))
Région
5 : R(O(t5,e4,e5,et5, d0)) R(O(chiffonné,
profondeur fluide, chiffonné, tissage, dimension cachée))
Région
6 : R(O(t6,e5,e6,et6, d0)) R(O(spiral,
chiffonné, longueur, intervalle, dimension cachée))
Région
7 : R(O(t7,e6,e7,et7, d0)) R(O(flèche,
longueur, largeur, profondeur z, dimension cachée))
Big
Bang II : D22 ou plus précisément D0, dimension
cachée
BB3/Réalité :
Région 1 : État Élémentaire D1
D2 D3 D0
Univers :
Région 2 : État Unifié D4
D2 D5 D6 D0
Région 3 :
État Fondamental D7 D5 D8 D9 D0
Région 4 :
État Qualique D10 D8 D11 D12 D0
Région
5 : État Cordique D13 D11 D14 D15 D0
Région
6 : État Quantique D16 D14 D17 D18 D0
Région
7 : État Classique D19 D17 D20 D21 D0
Donc, et techniquement, on devrait
parler de notre espace-temps en ces termes : R(O(t,y,x,z,d0)).
La dimension 0 est la résonance du Big
Bang II. La première Région formée dans la Réalité qui englobe l’univers ne
possède qu’une seule dimension spatiale, une temporelle et une
spatiotemporelle, avec la dimension cachée. Elle n’est pas viable, mais peut
contenir d’autres formes d’existence ; les Régions 2 et 3, qui sont dans
l’univers, ne sont pas plus viables pour nous, pour des raisons évidentes :
n’étant dotée d’aucune profondeur, ces régions ne sauraient abriter de
l’existence sous la forme que nous connaissons, pour autant nous savons
qu’elles abritent une matière observable et une matière sombre dans notre
propre Région, donc elles peuvent selon leur mode, proposer des formes
d’existence absolument différentes de la nôtre.
L’existence, sous une forme observable,
ne peut apparaître qu’à partir de la Région 4, car elle contient une
profondeur, mais cette existence ne saurait être autre que fluide, en somme,
une existence qui ne nous ressemble pas du tout. Cette Région est une sorte de
zone tampon entre deux modes d’exister incompatibles.
Les Régions 5, 6 et 7 peuvent, elles,
abriter de l’existence puis de la vie, mais, sous la forme que nous
connaissons, seule la région 7 la rend possible.
Les Régions sont donc, aussi, non
seulement ce qui permet de dater notre univers, nous savons que la septième
Région a entre 13 et 14 milliards d’années, mais nous ne connaissons rien de
l’âge des autres ; cependant, nous savons que d’une Région à l’autre, la
matière devient de plus en plus dense, et que toutes les Régions sont
intriquées les unes dans les autres d’une manière non nécessairement observable
dans notre propre Région, mais aussi cela nous permet de penser la manière dont
cette matière dense que nous observons dans notre réalité relative, et que nous
sommes aussi, s’est formée au fil de la formation des sept Régions.
Dans tous les cas, les réalités
relatives ne peuvent communiquer entre elles que si elles partagent une
dimension, ce qui réduirait considérablement le champ du possible, s’il n’y
avait la dimension 0 ; ce qui est toujours possible, c’est de communiquer
avec les réalités relatives de la Région précédemment formée à la sienne propre,
dans notre cas, avec la Région 6. Ceci étant, la dimension 22, liant toutes les
dimensions entre elles, devrait théoriquement nous permettre de communiquer
avec les autres Régions et les autres réalités relatives, même si elles ne sont
pas directement corrélées à la nôtre, pour autant que ce soit possible, c’est
donc cette dimension 22 qui forme la réalité partagée.