vendredi 24 janvier 2025

L’émergence de la dimensionnalité, La philosophie des qualia

  

Ce qui est intéressant, c’est que nos constantes cosmologiques ne sont constantes que dans nos dimensions, (x,y,z,t), mais il y a 22 dimensions, sept d’espace, sept de temps, sept d’espace/temps, et la dernière qui est une non dimension, dans le contexte d’une réalité relative fondée sur (t7,e6,e7,et7,d22), soit sur (t,y,x,z,d22) par exemple, la dimension 22 sera la dimension cachée de cette réalité relative, réalité relative qui partagera une, plusieurs ou toutes ces dimensions avec le complexe de réalités relatives dans lequel elle a pris corps, dans notre Région de l’univers, ce qui signifie aussi que notre Région de l’univers sera reliée par deux dimensions à la Région de l’univers à partir de laquelle elle est apparue, ces deux Régions seront liées l’une à l’autre, par la dimension e6, et par la dimension 22 qui sera présente dans toutes les réalités relatives, et dans toutes les Régions, mais comme une non-dimension, elle liera donc les réalités relatives entre elles.

Les constantes cosmologiques peuvent différer grandement des nôtres dans d’autres réalités relatives, en d’autres termes, notre système de référence défaillant (il lui manque une dimension), (x,y,z,t) est absolu pour nous, mais relatif dans l’univers. À partir de ceci, on peut imaginer n’importe quel système de référence, qui soit valide scientifiquement, sans rien préjuger de sa valeur de vérité.

Pour définir un espace-temps absolument relatif, il suffit d’une relation d’une origine avec deux dimensions spatiotemporelles, l’une constituée d’une dimension spatiotemporelle unique, et de la dimension cachée de l’univers, et l’autre constituée de deux dimensions d’espace et d’une dimension de temps.

Donc : R(O(A1, Ω2)), où O est soit le point d’apparition de notre réalité relative propre, soit le commencement de l’existence de notre Région de l’univers, et R, la relation entre cette origine et les dimensions de l’espace-temps concerné. Dans notre référentiel singulier, on aura donc R(O(t,y,x,z,d22)), où A1 est (t,y,x) et Ω2 est (z,d0).

Cela signifie qu’à l’origine l’espace et le temps ne sont pas non plus dissociés, la rotation spirale du point d’origine aurait donc favorisé la dissociation de l’espace et du temps, au point critique de l’apparition de l’espace-temps. Avant ce point critique, dans la manifestation qualique, il existe quelque chose qui n’est ni espace ni temps, ni espace-temps, mais milieu non dissociatif portant en germe la potentialité de l’un et l’autre, donc le passage du monde qualique au monde quantique intervient lorsque ce milieu se différencie et se discrimine progressivement en espace-temps, jusqu’au seuil critique où il apparaît comme tel.

Dans l’ordre, sauf erreur de ma part :

Sept états de temps : présence (t1), infini (t2), vide (t3), vague (ondulatoire) (t4), chiffonné (t5), spiral (soufflet) (t6), flèche (irréversible) (t7).

Sept états d’espace : présence (e1), infini (e2), vide (e3), profondeur fluide non temporelle (différente de z) (e4), chiffonné (e5), longueur y (e6), largeur x (e7).

Sept états d’espace/temps : présence (et1), infini (et2), vide (et3), flux ondulatoire (et4), tissage (intrication) (et5), intervalle (et6), profondeur (z) (et7).

Et un état nul, une non-dimension, ni spatiale, ni temporelle, ni spatiotemporelle, mais neutre, et en réalité, plutôt une anti-dimension, comme le fil qui coud toutes les autres dimensions de l’univers comme un seul ensemble.

Tout référentiel fait appel à certains de ces états de l’espace, du temps et du spatiotemporel. Chacun de ces états fondent des dimensions différentes, et donc des référentiels différents. C’est aussi ce qui produit l’idée erronée d’univers multiples, en réalité, il n’y a qu’un seul univers, mais de multiples réalités qui s’enchevêtrent souvent, et qui sont fondées sur les lois régissant chaque Régions de l’univers : chaque Région est en effet présente dans les suivantes, de sorte que dans notre Région sont présentes les six autres Régions, qui peuvent donc générer dans notre Région des réalités relatives très diverses et fondées sur la combinaison des lois de chaque Région indépendante.

L’espace-temps que nous connaissons n’est donc pas la seule chose que « colle » l’antimatière, dans la mesure où il y a 21 dimensions qui structurent la matière visible, plus une non dimension, il y a d’autres formes d’espace-temps, que nous ne connaissons pas. Dans l’espace à l’état initial puis dans l’espace-temps puis dans l’espace et le temps, se forgent 21 dimensions qui formeront selon leurs combinaisons de nombreuses possibilités d’espaces et de temps, dans lesquels émergera cette matière visible, et une seule dimension, la dimension 22 ou 0 qui est une non-dimension, qui sera aussi la dimension commune de l’antimatière, de la matière sombre et de la matière visible.

La dimension 22 et l’antimatière sont donc les colles des espaces et temps, observables ou non, mais ne se confondent pas l’une l’autre. Créer de l’antimatière, c’est rendre réel quelque chose qui ne l’est pas, dans des dimensions dans lesquelles elle ne devrait pas être, c’est donc rendre réel non seulement la dimension 22 qui alors devient une dimension et cesse d’être une non dimension, mais aussi les 17 autres dimensions qui ne doivent pas exister dans l’espace-temps à quatre dimensions de notre réalité relative, si nous voulons que notre espace-temps reste opérationnel comme tel.

Créer antimatière et dimensions dont la dimension 22, c’est créer les conditions de l’effondrement de l’univers. De la même manière, il y a autant de matière sombre que de matière visible : elles existent dans les mêmes proportions. Cependant, la matière visible que nous connaissons est une partie infime de la matière visible existante réellement, puisqu’elle ne concerne qu’un seul espace-temps et cinq dimensions : un seul complexe de réalités relatives. Le reste, la matière visible existante dans d’autres combinaisons de dimensions, nous demeure inconnue ; de cette manière, la matière sombre que nous connaissons nous semble plus importante que la matière visible, elle ne l’est pas. C’est la raison pour lesquelles les autres réalités relatives peuvent nous être invisibles, si elles n’existent pas dans le même espace-temps ou les mêmes dimensions que nous.

Rendre visible la matière sombre, qui existe dans la dimension 22, c’est rendre réelles et la matière sombre, et la dimension 22, c’est mettre en danger la structure de l’univers, en mettant en danger la structure même de la matière visible, issue des relations entre les 21 dimensions, qui représentent autant de présence d’espace-temps qu’il y a de possibilités de combinaisons entre les dimensions. Si les 17 autres dimensions devenaient réelles dans notre espace-temps à cinq dimensions, cet espace-temps serait disloqué comme tel, et notre « univers » s’effondrerait comme tel.

Ceci ne peut arriver que si nous voulons créer ou rendre visible, ce qui revient au même, de l’antimatière ou de la matière sombre, ou encore la dimension 0, car alors nous créons des singularités multiples, qui à terme provoqueraient l’effondrement de notre univers. Nous avons donc la responsabilité de protéger notre univers de nous-mêmes, et au vu de la manière dont nous savons protéger notre propre humanité de nous-mêmes, je doute que nous ayons l’intelligence et la sagesse de nous contenter de la seule théorie et de sa seule validation mathématique.

Ce que nous nommons les Régions de la Réalité et de l’univers sont donc les sept différents états de cette Réalité et de l’univers qui coexistent dans l’état classique d’une manière intriquée, et dans nos réalités relatives, et ces Régions sont bâties sur la même structure que notre espace-temps propre : une dimension de temps singulière, une dimension spatiotemporelle singulière et deux dimensions d’espace, plus la dimension 22. Ce sont donc les dimensions d’espace qui rendent possible la communication entre les différentes Régions, tout comme entre les différentes réalités relatives et la non-dimension. On retrouve tous les états de ces régions intriquées les unes dans les autres au fur et à mesure de leur apparition, jusque dans l’état classique où elles coexistent toutes, ce qui fonde les 21 dimensions et la dimension 22, et la condition de possibilités de toutes nos réalités relatives.

Dans chacun des sept espaces-temps possibles, liés à ces sept Régions, la dimension de temps et la dimension spatiotemporelle seront différentes, mais elles se conjugueront avec deux dimensions d’espace, et comme il n’y a que sept dimensions d’espace, nécessairement, les dimensions d’espace seront en partie communes les unes les autres. Si les dimensions apparaissent l’une après l’autre, alors il faut comprendre que chaque Région aura une dimension d’espace commune avec la précédente, de sorte que chaque Région sera liée à la Région suivante, mais jamais par la même dimension d’espace. De la plus ancienne à la plus jeune, ces Régions fondent l’ensemble de la structure dans lesquelles peuvent exister des réalités relatives, et donc la vie.

On peut donc déduire ce qui suit :

 

 

Région 1 : R(O(t1,e1,et1, d0))    soit :     R(O(présence, présence, présence, dimension cachée))

Région 2 : R(O(t2,e1,e2,et2, d0))             R(O(infini, présence, infini, infini, dimension cachée))

Région 3 : R(O(t3,e2,e3,et3, d0))             R(O(vide, infini, vide, vide, dimension cachée))

Région 4 : R(O(t4,e3,e4,et4, d0))             R(O(vague, vide, profondeur fluide, flux, dimension cachée))

Région 5 : R(O(t5,e4,e5,et5, d0))             R(O(chiffonné, profondeur fluide, chiffonné, tissage, dimension cachée))

Région 6 : R(O(t6,e5,e6,et6, d0))             R(O(spiral, chiffonné, longueur, intervalle, dimension cachée))

Région 7 : R(O(t7,e6,e7,et7, d0))             R(O(flèche, longueur, largeur, profondeur z, dimension cachée))

 

Big Bang II : D22 ou plus précisément D0, dimension cachée

BB3/Réalité : Région 1 : État Élémentaire D1 D2 D3 D0

Univers :         Région 2 : État Unifié D4 D2 D5 D6 D0

Région 3 : État Fondamental D7 D5 D8 D9 D0

Région 4 : État Qualique D10 D8 D11 D12 D0

Région 5 : État Cordique D13 D11 D14 D15 D0

Région 6 : État Quantique D16 D14 D17 D18 D0

Région 7 : État Classique D19 D17 D20 D21 D0

 

Donc, et techniquement, on devrait parler de notre espace-temps en ces termes : R(O(t,y,x,z,d0)).

La dimension 0 est la résonance du Big Bang II. La première Région formée dans la Réalité qui englobe l’univers ne possède qu’une seule dimension spatiale, une temporelle et une spatiotemporelle, avec la dimension cachée. Elle n’est pas viable, mais peut contenir d’autres formes d’existence ; les Régions 2 et 3, qui sont dans l’univers, ne sont pas plus viables pour nous, pour des raisons évidentes : n’étant dotée d’aucune profondeur, ces régions ne sauraient abriter de l’existence sous la forme que nous connaissons, pour autant nous savons qu’elles abritent une matière observable et une matière sombre dans notre propre Région, donc elles peuvent selon leur mode, proposer des formes d’existence absolument différentes de la nôtre.

L’existence, sous une forme observable, ne peut apparaître qu’à partir de la Région 4, car elle contient une profondeur, mais cette existence ne saurait être autre que fluide, en somme, une existence qui ne nous ressemble pas du tout. Cette Région est une sorte de zone tampon entre deux modes d’exister incompatibles.

Les Régions 5, 6 et 7 peuvent, elles, abriter de l’existence puis de la vie, mais, sous la forme que nous connaissons, seule la région 7 la rend possible.

Les Régions sont donc, aussi, non seulement ce qui permet de dater notre univers, nous savons que la septième Région a entre 13 et 14 milliards d’années, mais nous ne connaissons rien de l’âge des autres ; cependant, nous savons que d’une Région à l’autre, la matière devient de plus en plus dense, et que toutes les Régions sont intriquées les unes dans les autres d’une manière non nécessairement observable dans notre propre Région, mais aussi cela nous permet de penser la manière dont cette matière dense que nous observons dans notre réalité relative, et que nous sommes aussi, s’est formée au fil de la formation des sept Régions.

Dans tous les cas, les réalités relatives ne peuvent communiquer entre elles que si elles partagent une dimension, ce qui réduirait considérablement le champ du possible, s’il n’y avait la dimension 0 ; ce qui est toujours possible, c’est de communiquer avec les réalités relatives de la Région précédemment formée à la sienne propre, dans notre cas, avec la Région 6. Ceci étant, la dimension 22, liant toutes les dimensions entre elles, devrait théoriquement nous permettre de communiquer avec les autres Régions et les autres réalités relatives, même si elles ne sont pas directement corrélées à la nôtre, pour autant que ce soit possible, c’est donc cette dimension 22 qui forme la réalité partagée.

 

 

L’émergence de la dimensionnalité, La philosophie des qualia

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