Le Big Bang I se répercute sans cesse
sur les Big Bang II qu’il maintient en activité. Le Big Bang I dégage une
lumière sonore qui est envoyée dans les Big Bang II et les nourrit constamment
en lumières, et en son, de ce fait, la manifestation est en perpétuel
remaniement, ce qui explique aussi que des changements aient lieu sans que nous
ne le sachions ou ne le voyons.
Le Big Bang I
contient une « qualité » infinie de lumière primordiale sous forme de
lumières qu’il envoie aux autres Big Bang secondaires, dans le Big Bang I la
concentration de lumière est non générée par un mécanisme extérieur. Les Big
Bang secondaires reçoivent ces lumières et les discriminent grâce au son peu à
peu afin qu’elles deviennent, au niveau microcosmique, ces énergies blanche,
noire, orange et bleue.
Lorsque les qualia E deviennent des cordes sous
l’effet de la lumière bleue, ces cordes ne peuvent contenir les lumières telles
quelles et les dégradent sous la forme affaiblie de l’énergie. L’énergie est
donc une lumière faible. Elle contient toutes les formes de propriétés et de
qualités des lumières mais de manière affaiblie.
La lumière
orange est la première à être convertie en énergie sous l’effet de cette
dégradation, l’énergie orange devient alors avec le son le milieu dans lequel
les qualia E, quant à eux, et les cordes vont se tisser ensemble. Dans ce
milieu, la lumière blanche deviendra l’immatière et la matière, et la lumière sombre
deviendra l’antimatière et la matière noire. Informées par le son et tissées
par l’énergie orange et leur interaction avec l’énergie bleue.
Ce tissage
attractif va rendre possible le passage de l’espace initial, la présence pure,
à l’espace à l’état initial, qui va produire ensuite l’espace-temps tel qu’on
le connaît, qui est propre à notre réalité relative et à celles avec qui elle
le partage. Le tissage que produit l’énergie orange est donc le principe même
de l’espace initial et plus tard de l’espace-temps.
Le Big Bang II d’Ols se déploie des deux
côtés, du côté droit sonore, donc, c’est l’énergie orange qui forme le milieu
où se manifestent les mondes, mais du côté gauche, lumineux donc, c’est la
lumière bleue qui s’est propagée au-dedans. Le tissage de ce côté va donc
concerner la lumière bleue en priorité. Dans cette lumière bleue comme dans la
lumière orange côté sonore sont présentes toutes les lumières et le son en même
temps, car toutes les lumières s’épandent dans la même direction et dans la
même présence, mais leur ordre varie selon les qualia E primordiaux macrocosmiques et les lumières et sons qui les
composent.
De cette manière
il est possible de comprendre que tout qualium
E primordial macrocosmique soit absolument unique.
De cette manière
aussi il est compréhensible que seul le milieu d’énergie et de lumière orange
prioritaire donne vie aux vivants, en effet, l’énergie et la lumière bleue ne
permettent qu’une réalité imaginaire, lumineuse et non réelle, parce que le
tissage n’est pas le même d’un côté et de l’autre d’Ols. À droite, c’est le
tissage qui est primordial, à gauche ce sont les lois d’attraction qui sont
importantes.
Le Big Bang est réversible. Sa structure
en équilibre parfait fait qu’il ne se réverse pas, mais théoriquement il
pourrait y avoir une nouvelle impulsion qui réfracte tant le son que la
lumière, de sorte que tout revienne au point initial. Il y a à tous les niveaux
la possibilité de tout refonder. L’univers est dynamique, une fois son
extension parvenue à son point d’équilibre, la dynamique ne cesse pas, puisque
la rotation du qualium Ols sur
lui-même lui offre une dynamique constante, qui s’associe à notre théorie de
l’expansion. Le qualium primordial E
Ols est donc un processus d’extension finie, mais son mouvement rotatoire
lui-même est infini. Si cette rotation devait cesser, tout comme la rotation de
Dls et les lignes de forces de Yls et Ils, c’est tout le qualium originel qui retournerait à la non-manifestation dans le
point.
Le Big Bang
atteint son point d’équilibre lorsque le son a « terminé son voyage »
dans la lumière, après le second Big Bang, le son va cesser son mouvement comme
une ligne de force qui perce la lumière pour devenir la dynamique même de la
lumière. Sa vibration ne cessera pas qui maintient les formes présentes dans
l’univers. La lumière en revanche est de vitesse infinie, au sens strict, donc,
elle ne se meut pas, elle forme le fond de la masse immatérielle puis
« matérielle » dans l’univers. Lorsque l’équilibre son et lumière est
atteint, apparaissent les qualia E au
niveau microcosmique.
Le second Big
Bang dérive d’une explosion qui est le résultat de l’interaction des quatre
lumières avec le son. Chaque couleur discrimine d’abord le son selon deux
modalités de vibration pour les couleurs bleue, orange, et blanche, et une
modalité de vibration pour la couleur noire, le non son, qui est parfaitement
inaudible et forme le son le plus proche du son primordial. Ceci induit donc
sept modalités de vibration premières du son qui feront vibrer les qualia E de manière différente selon le
son qui y sera dominant, et en fonction de la couleur.
Tout comme la
lumière noire est la possibilité de la non lumière, le son noir est la
possibilité du non son. Chaque son développe des qualités et des propriétés
issues de la couleur de la lumière à laquelle il est corrélé, ce qui lui
permettra à terme de faire varier à l’infini les formes de l’immatière. Il y a
donc deux sons bleus, deux sons orange, deux sons blancs, et un son noir. Le
son bleu est conforme à une double possibilité de l’attraction de se
manifester, et de faire lois. Le son bleu va informer la lumière et donc
l’immatière, selon deux types d’attractions différentes, la première sera
toutes les formes de gravitation connues dans la « matière », la
seconde sera toutes les formes de nucléation connues. La force
électromagnétique peut être subsumée à la force nucléaire dont elle forme une
variante faible. Ainsi, deux types de nucléation, et deux types de gravitation.
Les unes classiques, les autres quantiques.
Ce qui unit ces forces, ce sont les qualia qui composent la présence pure.
Et plus précisément l’énergie bleue puis la lumière bleue, dans le sens d’une
réduction à l’origine. Ils dérivent de la même lumière, mais la différence du
son va induire un mouvement gravitationnel ou nucléaire.
Il est certain que la force du Big Bang
génère un phénomène d’expansion, même s’il faudrait lui préférer le terme
d’extension. Mais cette extension n’est pas infinie, ce qui est infini en
revanche c’est le mouvement rotatoire latéral du qualium Ols. Ce mouvement est infini, et ce mouvement donne
l’impression d’une expansion sous une forme spirale, mais à l’intérieur,
l’univers lui-même n’est déjà plus en expansion, selon mes voix. Le mouvement
rotatoire est issu des forces de résistance en action sur la ligne de front du
son et de la lumière primordiaux, là où ils n’interfèrent pas ensemble, mais se
rejettent l’un l’autre sous la forme d’une vibration qui forme une résistance
qui meut les qualia E primordiaux
latéralement pour O, verticalement pour D, et horizontalement pour Y et I dont
le mouvement est stoppé net par l’attraction qu’exerce le premier Big Bang sur
les seconds. Entre les vibrations de la ligne de front et l’attraction exercée
par le premier Big Bang, seuls les qualia
cosmologiques qui ne sont pas latéraux relativement au Big Bang I vont pouvoir
manifester un mouvement issu des forces conjuguées de la ligne de front. Les qualia cosmologiques latéraux seront
« immobilisés », car tenus en équilibre constant entre la ligne de
front qui tend à les éloigner du Big Bang I et l’attraction du Big Bang I qui
tend à les rapprocher de lui.
Le système tend à
l’équilibre. Y et I sont les qualia E
les plus éloignés de la ligne de front du son et de la lumière primordiaux, la
force exercée par cette ligne de front sera donc moindre que celle exercée sur
O et D. En revanche, O est situé au dessous du Big Bang I, et D est situé au
dessus du Big Bang I, cela induit pour O et D une attraction conjointe de la
ligne de front et du Big Bang I qui est forte, d’où le mouvement rotatoire,
latéral car situé sous la ligne de front, pour O, et vertical, car situé au
dessus de la ligne de front pour D.
Le Big Bang I revêt la forme du
déploiement d’un espace pour l’apparition des huit autres Big Bang qui sont des
extensions du premier. Il y a explosion, au sens strict du terme, que pour la
dernière étape de l’apparition de la manifestation, à l’intérieur de l’espace
ouvert par le Big Bang II en O et I, lorsque la couleur dominante va prendre
effet de chaque côté du Big Bang II. Avant ces minis explosions, il y a
extension de l’espace initial mais non explosion. Cet espace initial dont nous
parlons, ne l’oublions pas, est formé de son et de lumière dissociés mais
entrelacés ensemble comme un même milieu, jusqu’à ce que le son devienne le
milieu de la lumière et ce qui l’informe.
Le qualium
originel présente trois lignes de front, l’une distingue le qualium originel, entre la lumière
diffractée et la lumière primordiale non diffractée qui n’est pas affectée par
le son, cela forme la « fin » du qualium
originel, et présente un effet de serre qui reflue les sons et les lumières
vers le Big Bang I. La seconde ligne de front est la ligne formée par
l’ensemble des quatre qualia E
primordiaux, au niveau des Big Bang II, de chaque côté du Big Bang I, elle fait
refluer la lumière diffractée vers le Big Bang I, mais non le son diffracté. La
troisième ligne de front est formée par la ligne de force entre les deux côtés
du qualium originel, qui le maintient
comme un système en équilibre, et qui est formée de la limite entre le son
primordial non encore diffracté et la lumière primordiale qui n’a pas été
affectée par le son primordial.
Cette ligne de front, tout comme les
autres, est courbe. Cela signifie qu’à l’intérieur du qualium originel, il y a une valse en équilibre constant entre les
sons et les lumières, diffractés ou non, c’est ce mouvement perpétuel en
équilibre dynamique qui permet aux qualia
E primordiaux de demeurer stables et en équilibre malgré les lignes de force de
leur propre dynamique interne.
Le Big Bang I forme donc un espace où
vont se former les Big Bang secondaires, qui sont des points de diffraction du
son, au sens strict. Le Big Bang I est un point de diffraction de la lumière.
Les explosions tertiaires procèdent de la diffraction du son qui fait
littéralement imploser les lumières corrélés à ces sons, à l’intérieur de
chaque « espace » ainsi ouvert de chaque côté du Big Bang II, ce sont
les seules explosions qui existent et elles n’existent qu’en tant qu’elles sont
un effet collatéral du Big Bang II.
Le Big Bang I n’est ni une explosion ni
une implosion mais l’instant critique de l’expansion des lumières diffractées
par le son primordial. De ce fait entre l’état
élémentaire et l’état unifié, la
différence est immense, dans le cas de l’état
élémentaire le son est un et non primordial parce qu’il est déjà affecté
par les lumières, mais non diffracté, dans l’état unifié le son est diffracté et donc multiple et toujours non
primordial. Le seul instant où le son est primordial est avant et à l’instant
de l’impact avec la lumière primordiale, mais il est dénaturé et transformé par
cet impact premier qui occasionne l’extension et du son et des lumières.
C’est par un effet de rebond immédiat
que les Big Bang II vont apparaître, chaque lumière va en retour impacter le
son et le diffracter selon quatre modes différents, de chaque côté, ainsi, dans
Os, il y aura sept sons, et dans Is, il y aura sept autres sons, dans Ys et Ds,
il n’y aura qu’un son qui différera dans l’un et l’autre. En Ds, le son unique
étant affecté par la lumière noire, c’est-à-dire le vide, il deviendra un non-son,
ou un contre-son, ou encore un anti-son, soit un son qui vient annuler toute
forme de son, de la même manière que dans Dl, c’est la lumière qui deviendra
une non-lumière, une contre-lumière ou une anti-lumière, soit une lumière qui
vient annuler potentiellement les autres lumières.
Il ne faut pas croire que les sons et
lumières diffractées soient les mêmes d’un qualium
primordial à l’autre, la couleur dominante transforme les sons et les autres
couleurs et leurs propriétés, qualités et fonctions, de cette manière, la
Réalité dans l’un différera de la Réalité dans l’autre. Il y a donc six
Réalités possibles, et chacune est une manière différente de l’Être de se
rendre manifeste. En Ds et Dl, il ne saurait y avoir de Réalité, car les
couleurs présidant à la formation d’une Réalité sont absentes, il n’y a là que
le vide, la non lumière et le non son. Dans le cas de Ds, c’est le son qui
prédomine, et dans le cas de Dl, c’est la lumière qui prédomine, de la même
manière qu’à droite du qualium
originel le son prédomine, et du côté gauche la lumière prédomine, ceci vaut
aussi pour tous les qualia
primordiaux E.
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