Le tissage de la structure de l’univers
concerne quatre énergies, blanche, sombre, bleue et orange, les deux dernières
étant la « colle » de cette structure. Si l’univers était une image
pixellisée, un pixel ayant perdu l’information des énergies orange et bleue
conduirait au retour à l’état initial, soit du vide où rien ne subsiste, soit
de la lumière à l’état pur, soit du son à l’état pur. D’où l’idée que les trous
noirs et blancs sont issus d’une perte d’une ou plusieurs énergies. S’il y a
perte de l’énergie bleue, ce serait des trous noirs, ce sont les trous noirs
« naturels », s’il y a perte de l’énergie orange, ce serait des trous
blancs. S’il y a perte des deux ce serait des trous de vers.
L’énergie orange est une forme de nappe
énergétique qui donne sa cohésion à la « matière » comme au vivant,
et qui participe à l’élaboration de tout ce qui est, c’est comme l’information
« génétique » initiale de l’univers qu’elle contient. L’énergie bleue
forme une énergie d’attraction, un principe initial de toutes les formes
d’attraction, et de leurs lois, ce que concernant l’univers nous nommons les
quatre forces. La cinquième force est spirituelle.
Les qualia
E contiennent toutes les informations nécessaires à l’apparition des réalités
relatives et de l’univers, a priori.
Le qualium est une entité. Cela
signifie qu’il n’a aucune matérialité. Dans l’immatière et au-delà, à son
origine, il n’y a aucune matérialité telle que l’entend la conscience
ordinaire, y compris lorsqu’elle pense quantum
d’action ou vecteurs d’état. Le qualium
se définit par ses propriétés, il est, au titre de sa couleur dominante,
toujours ce qui va venir définir sa fonction primaire. La couleur nomme ses
propriétés, il sera attraction pour les qualia
bleus, il sera tissage pour les qualia
oranges, il sera vide pour les qualia
noirs, et il sera infini pour les qualia
blancs. Les propriétés d’être vide, attractif, colle, ou infini, forment
l’ensemble des possibilités des qualia E,
mais la combinaison de ces quatre propriétés sera elle infinie.
Le qualium noir, en tant que vide, peut
être dit positif, c’est-à-dire à proprement parler vide, bouillonnement d’une
puissance en devenir, ou négatif, c’est-à-dire en réalité la possibilité du
non, le non son, la non lumière, le non qualium,
le non univers, le non monde, la non dimension. Il contient donc en lui tout le
potentiel créatif de la manifestation et aussi sa possible non-existence. Le qualium blanc en tant qu’il est infini
est aussi ce qui va contenir le principe même de finitude, concernant les trois
autres qualia, qui relativement à lui
seront finis.
De cette
manière, le qualium blanc va rendre
infinies les propriétés des autres qualia,
de sorte que dans la matérialité, ces principes de finitudes deviennent des
principes d’exactitudes. En d’autres termes, ces propriétés qui sont finies en
soi vont devenir infinies dans l’immatière, cela signifie que les qualia vont porter en eux les fondements
mêmes de ce que nous nommerons ensuite la matière : les propriétés de
vide, de collage ou d’attraction seront finis mais se déploieront de manière
infinie lorsqu’ils seront corrélés à un qualium
blanc, et de manière finies, s’ils ne sont pas corrélés à un qualium blanc.
Inversement, ces
trois différents qualia sont ce qui
va venir finir, déterminer l’infini du qualium
blanc, et rendre ainsi possible que quelque chose nommée matière puisse
apparaître.
Les quatre
cordes primordiales contiennent effectivement les quatre couleurs, ensemble
dans un équilibre de forces parfait. Comme il n’existe que sept sons et quatre
couleurs, pour les qualia E, une
corde simple ne pourra pas contenir plus de sept sons différents et quatre
couleurs différentes, puisque chaque lumière est corrélée à deux sons sauf la
lumière noire qui n’est corrélée qu’à un seul son. C’est-à-dire que pour les
cordes primordiales et simples, on aura un maximum de vingt-huit combinaisons
possibles, les 28 qualia
simples ; cela signifie qu’il y a vingt-huit types de vibrations
différentes qui donnent vingt-huit cordes différentes, quatre primordiales et
vingt quatre dites simples, mais qui, en réalité, sont déjà complexes, et qui
différeront de chaque côté du qualium
originel, compte tenu de la différence issue des modes de vibrations des qualia primordiaux de chaque côté,
sonore et lumineux. Ce sont cependant les mêmes 28 qualia simple, les mêmes 28 cordes, mais dont quatre vibrent de
manière sonore, ou de manière lumineuse.
En d’autres
termes, le nombre de corde simple n’est pas infini. À partir de ces vingt-huit
cordes dites simples, ou types de vibration, et selon leurs combinaisons, vont
apparaître des cordes dites complexes, lesquelles vont structurer ce qui est
afin de former tous les éléments de l’état
quantique que nous connaissons :
plus l’on s’éloigne du Big Bang 2, plus la réalité devient complexe, mais plus
on s’approche de l’origine, et plus les choses deviennent simples et ce qui est
demeure simple aussi.
Le qualium
noir est donc spécial, et il est doté de deux propriétés,- et tandis que le qualium bleu est doté de deux propriétés
qui s’accordent l’une à l’autre comme des complémentaires -, le qualium noir est lui pourvu de deux
propriétés qui s’annulent l’une l’autre : jamais le bouillonnement de
l’immatière ne pourra coexister avec sa négation. Les qualia orange et blanc sont eux-mêmes dotés de deux propriétés, le
tissage et la colle pour la couleur orange, et l’infini et l’immatière (le
fini) pour la couleur blanche. Ces propriétés sont aussi des fonctions, mais
les quatre qualia E primordiaux ont
d’autres propriétés qui ne sont pas forcément des fonctions mais aussi des
définitions, et d’autres encore qui seront des qualités.
Le qualium
blanc a lui-même plusieurs propriétés, il est d’abord réversible, transitif et
infini, il n’a pas de forme au sens strict du terme, si par forme l’on entend
une détermination spéciale. Il est en l’état indéterminé, ce qui n’est pas le
cas des trois autres qualia, puisque
le qualium noir est déterminé par la
négation qu’il porte, et que les qualia
orange et bleus sont finis par définition par leur fonction de colle et de
tissage ou d’attraction. Il va sans dire que le tissage relatif de notre monde
procède tant de l’énergie orange que de l’énergie bleue. L’espace-temps tel que
conçu par nous est la manifestation de l’action conjointe des énergies orange
et bleue, tissant le vide et l’infini afin de porter la matière, ou ce que nous
nommons telle.
En réalité cette matière n’est qu’existante,
et non étant, en d’autres termes, elle émerge, surgit et s’extrait de l’être
aux yeux de l’observateur, mais elle est sans substance, elle n’est pas en soi,
la réalité relative est phénoménale et non étante. Ceci étant, elle est
nouménale. Par contre, la Réalité, elle, est et existe dans le même temps.
Le qualium
orange est le plus important de tous, on pourrait se dire que les lois
d’attraction sont essentielles, et elles le sont, mais c’est la propriété
orange qui fonde ce milieu entrelacé dans lequel sont rendues possibles la
manifestation des lois d’attraction, et par lois d’attraction, il faut
entendre, entre autres, les forces que nous connaissons. En effet, la propriété
orange permet à l’espace-temps de se constituer comme tel, tel que nous le
connaissons, elle forme le milieu, mais aussi le tissage dont a besoin
l’espace-temps pour devenir un milieu homogène, et c’est elle qui permet la
courbure de l’espace et du temps, de sorte que sans elle les lois d’attraction
ne sauraient se mettre en œuvre, du point de vue de la gravitation classique,
mais aussi quantique et du point de vue de la nucléation, dont elle permet
l’apparition.
Le qualium
blanc a la propriété d’être infini, cela lui confère une possibilité infinie de
créer de la matière, mais cette possibilité sera encadrée par les trois autres qualia qui vont venir le limiter, ainsi
la colle, les lois d’attraction et le vide sont ce qui « limite »
l’infini. Sans ces limites, notre univers n’aurait pas pu exister, car tout
aurait été infini y compris la « matière », mais en tant qu’il
possède cette propriété, il est aussi ce qui vient confirmer la possibilité de
la diversité infinie des formes d’existence, de vie, d’étantité, du plus petit
au plus grand, c’est à partir de ce qualium
blanc que va prendre corps ce que nous nommons la « matière »,
quelles que soient ses formes, de la plus immatérielle à la plus tangible, il
n’y a pas de rupture.
Il ne faut pas confondre le qualium originel, issu du Big Bang I,
les quatre qualia E primordiaux cosmologiques
issus du Big Bang II dans l’un desquels nous sommes, au niveau macrocosmique,
avec les quatre qualia E primordiaux
qui fondent, au niveau microcosmique, notre univers et se complexifient au fur
et à mesure qu’on s’éloigne du Big Bang II, dans la présence pure, en
combinaisons simples, complexes ou secondaires, lesquelles
deviennent donc les cordes primordiales, simples, puis complexes, qui à leur
tour produisent la mousse quantique, le vide, les quanta, et tout ce que nous connaissons.
Lorsque le qualium blanc entre en contact avec les autres qualium sous l’effet attractif du qualium bleu, le qualium
orange vient limiter la part infinie du qualium
blanc et colle ensemble le qualium
noir et le qualium blanc, tandis que
le qualium bleu permet cette imbrication
et la rend pérenne. Le vide donc se retrouve tissé à l’infini et s’avère être
le constituant fondamental qui va tenir en équilibre ce que nous finirons par
nommer la masse de la matière, laquelle est une forme complexe de lumière et de
vide informés par le son et soumise à des lois d’attraction et de tissage.
Le qualium
blanc contient en germe l’information « matière », tout comme les
trois autres comportent les informations « vide »,
« tissage », « attraction ». Tout contient tout dès le
commencement, en puissance. Ce sont les qualia
orange et bleu qui fonderont ce que nous nommons l’espace-temps, ils
contiennent comme les deux autres l’information « présence » (espace
initial), mais c’est sous leur effet que l’espace à l’état initial va émerger comme
tel, puis, in fine, l’espace et le
temps, sous la forme première de l’espace-temps.
Par le qualium bleu, et donc à sa suite l’énergie bleue, c’est d’abord la
nucléation qui se rend manifeste, sous sa forme forte, et ensuite sous sa forme
faible, ensuite apparaît la gravitation quantique qui rendra possible la force
électromagnétique puis la gravitation classique. Le travail de la nucléation
consiste à donner sa consistance à la lumière informée par le son, c’est-à-dire
son aspect d’abord immatériel, puis « matériel », puis matériel au
sens classique. Chaque énergie issue de chaque lumière possède les propriétés,
les qualités et les fonctions de la lumière dont elle dérive, et dont elle est,
rappelons-le, la forme faible. C’est cet affaiblissement de la lumière en
énergie qui rend possible l’apparition de tout ce qui est dans son ensemble.
Le qualium
noir est donc celui qui porte la propriété du vide, mais il porte aussi la
propriété de la finitude, en tant qu’il limite l’infini, il sera ce qui in fine donnera au qualium blanc sa forme finale, tandis que l’on sait que ce sont les
sons primordiaux qui informent la matière. Nous n’entendons que trois sons sur
sept, mais il faut retenir qu’il y a dix sons primordiaux. Ainsi le son se
décline de dix manières différentes, rendant la manifestation diverse, selon le
son qui servira à sa réalisation, qu’il nous soit audible ou non.
Les trois sons que nous connaissons,
seront l’origine de ce que nous nommons notre matière. Ils serviront à forger
jusqu’à notre être au monde, ou notre être dans le monde. Les quatre autres
sons produisent aussi à partir de la lumière des manifestations différentes,
mais auxquelles nous n’aurons jamais accès, puisqu’elles proviennent de sons
qui nous sont inaudibles et donc irreprésentables. Mais il reste trois sons,
dont nous ignorons tout, et pour lesquels nous ne savons pas s’ils produisent
quelque chose, mais il semble bien qu’ils produisent quelque chose qui forme le
fondement du qualium originel, et ses
fondations propres.
Le qualium
noir, D, est introversé, cela signifie qu’il ne connaît aucune extension de la
lumière, ou du son, bien au contraire, il est ce qui va concentrer la lumière
et le son en un point dynamique, son Big Bang II lui-même. Dans Os, au niveau
qualique, cela se développe de manière similaire au qualium E bleu, la concentration relative au qualium E noir va permettre à une loi d’attraction et à un collage
d’être opérationnels, il va concentrer l’immatière puis la
« matière » comme une structure, comme un ensemble homogène et
indépendant. Ainsi, le son informe la matière, l’énergie orange la tisse,
l’énergie blanche la fonde, la constitue, l’énergie noire la concentre, et
l’énergie bleue la rend homogène avec l’ensemble et le reste de ce qui est.
Ceci vaut au niveau quantique, mais
aussi au niveau classique, où ces quatre énergies, bien qu’imperceptibles, nous
fondent. Ce qui est amusant, c’est qu’au tout début, on ne me présentait que
l’énergie orange, comme une chose que nul ne connaissait, tandis qu’on connaît
très bien son existence, à mon sens, c’est surtout l’énergie bleue qui passe
inaperçue, puisque l’on ne l’observe pas directement, mais l’on n’en voit et ne
décrit que les effets. En tous cas, le qualium
noir est ce qui au final concentre l’immatière sur elle-même comme une entité
indépendante et autonome. Il est le qualium
E qui concentre ce qui est afin qu’au terme de l’évolution de l’immatière, il
apparaisse quelque chose que l’on puisse nommer « matière »
Le qualium
E bleu est effectif tout comme le sont les autres dès sa forme qualique, bien
qu’il ne soit pas encore question d’énergie mais de lumière, il possède déjà
toutes les lois d’attraction qui vont venir fonder le monde que nous
connaissons, mais aussi ceux que nous ne connaissons pas. Nous parlons de ces
forces au niveau non pas de notre réalité relative, mais au niveau universel,
ce sont des forces universelles, ce qui signifie que dans chaque réalité
relatives, elles seront identiques. Ce sont les constantes, l’espace-temps,
etc., qui changeront d’une réalité relative à l’autre, mais non les forces.
Nommer substance ce qui est, selon nous
et notre perception, fut-elle intellectuelle, lorsqu’elle n’est pas sensible,
ne définit en rien ce que serait cette substance. Ce que nous nommons matière est
ce que nous pouvons objectiver comme une « substance étendue, divisible,
pesante, et susceptible de toutes sortes de formes »[1],
le principe même des choses, une substance, ce qui se tient dessous cette
matière qui est non pas nécessairement pesante, puisque certains éléments sont
de masse nulle, mais une chose qui sous-tend la phénoménalité de l’existant. Nommer
substance ce qui est, l’Être, le Réel, et matière ce qui existe, et qui est
pure phénomène d’émergence continuée d’une substance vide, qui est et n’est
rien dans le même temps.
Ce qui se tient dessous la matière donc,
est lui-même non tangible, comme nous serions portés à le croire à notre
échelle, nous le savons, et nous le savions lorsque nous avons inventé le terme
matière, même si en l’occurrence le
sens premier de principe et de substance fut largement oublié. La matière n’est
pas non plus nécessairement étendue, c’est-à-dire spatiale, dans le cas des
cordes nous retrouverons la spatialité de l’existant, mais dans le cas des qualia, il n’y a encore aucune étendue,
car l’étendue est une qualité de l’espace et de l’espace à l’état initial, tout
comme l’est la temporalité, mais non pas de l’espace initial, qui, en tant que
pure présence, n’est lui-même pas étendu, ni spatial, bien qu’il soit en tout
partout, et bien qu’il porte la spatialité et la temporalité qui adviendront
ensuite par lui, comme une puissance, un potentiel.
De cette sorte, on peut définir la
matière sous son aspect le plus général, comme une substance, un principe, susceptible de toutes sortes de formes et dont
la nature est vide a priori. De cette manière, la substance, ce qui se
tient dessous, n’a pas à être autrement qu’elle n’est : intangible, un son
et une lumière dont pour l’instant nous ignorons tout. Un vide qui lui-même ne
sera pas matériel au sens où nous l’entendons communément. La matérialité, au
sens consensuel, le mur que l’on ne saurait traverser, n’existe donc qu’à notre
échelle, mais non au niveau substantiel de l’immatière, nous le savons aussi.
Et que ceci existe à notre échelle ne détermine pas la matière non plus comme
tangible, divisible, pesante, et intraversable, puisque les expérimentations
spirituelles montrent que ce mur, que l’on ne saurait traverser communément, il
est bel et bien possible de le traverser, lorsque nous avons acquis quelques
facultés spirituelles. En d’autres termes, le mur intraversable n’existe que
pour la conscience ordinaire, tant qu’elle ne s’est pas développée elle-même
comme conscience absolue. Tout fonctionne comme si la conscience ordinaire
créait la matière telle qu’elle la perçoit et l’observe…
Ce que cela signifie, c’est que
« notre » matière, solide, intraversable, est tout aussi illusoire
que notre matière corporelle solide, tangible, indivise l’est, et pourtant
combien il nous est difficile de penser que notre corporéité même puisse être
spirituelle, intangible, immatérielle, tellement ceci contrevient à toutes nos
expériences communes. Comment ajouter foi à ces expériences spirituelles qui
nous semblent bien extraordinaires, en Occident ? Ce mode d’exister, qui
peut dématérialiser la matière et la transformer en énergie, en lumière, ou en
son, c’est pourtant ce que décrit la physique quantique, et il n’y a pas de
rupture entre l’existence quantique et l’existence classique ou spirituelle,
nous le savons, tout évolue vers une matière toujours plus précise qui enfin se
rend capable de se dématérialiser soi-même et ce qui est.
Le qualium
noir est ce qui permet cette dématérialisation de l’immatière portée par le qualium blanc, le qualium noir est donc capable, dans certaines circonstances
favorables, d’annuler les propriétés des qualia
orange et bleu. Quelles sont ces circonstances ? Il faut se reporter aux
cordes pour comprendre ce phénomène, une corde complexe constituée de plusieurs
qualia noirs, au minimum deux, aura
cette capacité, ce type de corde est très rare, mais il existe, la double
vibration de couleur noire peut annuler les vibrations environnantes des autres
qualia, sauf celle des qualia blancs, qui, de par leur propriété
d’être infinis, forme une vibration infinie aussi ; le fait qu’elle soit
limitée par les qualia bleu, noir et
orange, ne signifie pas qu’elle ne soit plus infinie, mais signifie que la
potentialité d’infini qu’elle contient sera limité par cette forme qui lui sera
donnée et que nous nommons matière, et qui provient de la vibration du son.
En d’autres termes, la vibration de
couleur blanche est infinie, mais sa manifestation sous une forme informée par
le son et limitée par les qualia
bleu, noir et orange sera elle-même finie, de forme finie. Mais sans les qualia orange et bleus, le qualia blanc n’est que lumière infinie,
sous l’effet de l’annulation des autres qualia
par le qualia noir, cette lumière
rejaillit, et la matière se trouve dématérialisée.
Le qualium
E blanc porte donc en lui deux choses bien distinctes, d’une part ce qui, au
final, deviendra la matière que nous connaissons, entre autres, et d’autre part
ce qui, au final, deviendra la lumière que nous connaissons, aussi. En d’autres
termes, l’énergie, la masse et la lumière sont les trois variations d’une seule
et même chose, la lumière blanche, quand sous sa forme faible elle entre en
interaction avec les trois autres qualia,
sans cette interaction, la lumière blanche ne saurait devenir quoi que ce soit,
elle est dépendante des autres qualia
et du son quant à son devenir, et à ses formes de manifestations.
Sans le qualium noir, elle ne connaîtrait ni le vide qui la fonde, ni la
concentration dont elle a besoin pour devenir énergie, matière, lumière, ni
l’annulation qui la fait rester lumière ; sans le qualium orange, elle ne saurait persévérer ni dans son existence,
ni dans sa forme, car c’est cette couleur orange, c’est-à-dire cette propriété
de la lumière, qui la tisse en elle-même et avec les autres qualia ; et sans la propriété
bleue, elle ne saurait se persévérer sous sa forme tal, ni interagir avec les
autres qualia. Chaque qualium porte donc en lui certaines
propriétés qui rendent possible l’immatière puis la « matière ».
Chacun est essentiel à la formation de l’univers.
Ces quatre qualia E primordiaux sont essentiels,
car à eux quatre ils transportent les propriétés nécessaires à la formation de
l’univers, et des réalités relatives, avec leur lot de matière tangible. À la
suite de cela, chaque corde, d’abord simple puis complexe, aura des
spécificités propres, et des fonctions et des actions propres, selon sa
configuration qualique interne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire