Il y a la capacité pour un système d’être en puissance dans un autre. Notamment dans le cas d’un système (réalité relative) contenu et apparaissant dans un espace initial, corrélé à un espace-temps précis. Car en dehors des réalités relatives, l’espace est toujours soit un espace initial, soit un espace à l’état initial, et donc sans les dimensions que nous connaissons dans notre réalité relative, mais, selon les Régions de l’univers, avec d’autres dimensions.
Une variable d’existence d’un système
définit le champ de son apparition dans un autre système.
Potentiel de dénaturation : c’est
la capacité pour un système de se manifester sous sa forme inversée, quelque
soit la valeur de x, dans un certain
contexte.
Il y a la capacité pour une variable de
complémenter tout un système, en le qualifiant selon l’une de ses propriétés
qu’elle représente.
Les énergies BeBlON[1]
représentent la propriété énergétique de base des variations des réalités
relatives.
Ce que je décris donne des pistes pour
parvenir à mesurer mathématiquement le champ d’apparition de notre réalité
relative dans l’univers, et d’une certaine manière, pour décrire
mathématiquement la Réalité, qui peut l’être, dans une certaine mesure.
La variation temporelle décrit la
manière dont le temps et l’espace s’avancent dans l’espace à l’état initial de
la réalité relative en formation.
La variable d’existence définit la
variable précise qui va rendre la réalité relative actuelle, et non plus en
puissance. C’est l’état en puissance qui décrit la manière dont la variable
d’existence va pouvoir être définie.
Il y a donc une manière de décrire toute
réalité possible, indépendamment de ses constantes et de ses variables propres.
Une manière générale de décrire le potentiel « réalité relative »
dans l’univers.
Il est donc possible de décrire
mathématiquement notre réalité relative et la manière dont elle est apparue à
l’existence, dans l’univers, c’est dire aussi que toutes les lois par
lesquelles toute réalité relative vient à l’existence devraient être
potentiellement découvertes.
Le temps apparaît toujours dans l’espace
à l’état initial comme imaginaire, puis il devient réel, puis il devient
chronique, mais pas nécessairement dans toutes les réalités relatives, la
flèche de notre temps est contextuelle.
Ce que cela veut dire, c’est que ce que
nous, nous nommons le début de l’univers, d’une manière générale, ce n’est pas
le Big Bang II, ni le point d’extension de l’univers dans la Réalité lié à
l’explosion qui initie l’univers dans cette Réalité, mais bien le point
d’extension de notre réalité relative dans un espace à l’état initial, dans
notre Région de l’univers, soit, le moment d’apparition de notre Région et de
notre réalité relative dans l’univers. C’est le moment où notre réalité se
développe dans le temps, et dans l’espace, c’est-à-dire que c’est le moment où
l’espace et le temps de notre réalité relative apparaissent. Parce que, dans
d’autres réalités relatives, l’espace et le temps peuvent différer de manière
importante dans leurs définitions et leurs variations. Or ceci est une erreur.
L’espace initial et l’espace à l’état
initial sont des espaces potentiellement sensiblement différents. L’espace
initial est la pure présence, avant toute apparition de réalités relatives,
mais l’espace à l’état initial forme le milieu initial où apparaissent l’espace
et le temps, comme espace-temps d’abord puis comme entités possiblement
distinguables ensuite dans les diverses réalités relatives. En d’autres termes,
il semble que toutes les réalités relatives baignent dans l’espace initial,
mais après le point infime d’extension de la réalité relative, et avant que
l’espace-temps n’apparaisse, alors nous sommes dans un espace à l’état initial.
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