L’espace-temps se structure autour, non
pas des quatre qualia E, dont j’ai
déjà parlé, mais de qualia de son.
Les qualia E qui se transforment en
cordes n’adhèrent pas aux qualia de son
présents comme le milieu dans lequel les qualia
de lumières et les qualia de son se
développent. Ce qui signifie qu’il existe aussi des qualia de lumière seule. Il y a donc trois types de qualia, lesquels sont nommés
respectivement M, les qualia de son
pur, E, les qualia de son et lumière,
et G, les qualia de lumière pure.
L’espace-temps est fondé dans les qualia M, qui forment le milieu de son
dans lequel baigne la lumière et avec laquelle il interagit ou non afin de
donner soit des cordes, issues des qualia
E, soit de l’espace-temps, issu des anti-qualia
M, soit la matière noire ou l’antimatière, issues des anti-qualia E ou des anti-qualia G.
Le son connecté à une lumière spécifique
forme le milieu dans lequel baigne l’ensemble, au niveau fondamental. Ce milieu est différent de la présence pure, ce que
nous avons nommé l’espace initial. L’espace initial, ce n’est pas autre chose
que du son, qui, au niveau des cordes, va être transformé par la lumière pour
devenir l’espace à l’état initial au niveau cordique, puis l’espace-temps, au
niveau quantique, et enfin l’espace et le temps au niveau classique.
À l’état
élémentaire, le son et la lumière forme le même milieu et vibrent sur une
même vibration, mais, à l’état unifié,
le son et la lumière commencent à se distinguer sous l’effet de l’explosion
interne subséquente au Big Bang 2, et leur vibration commence à différer, ce
qui induit un type d’interférences qui vont venir diffracter la lumière irisée
en sept lumières, les qualia G,
orange, or, nacrée or, noire ou sombre, en réalité incolore mais qui paraît
sombre sous l’effet de la saturation de ce type de lumière, bleue, nacrée
argent et blanche, et le son en sept sons différents, les qualia M, mais d’abord indissociés comme tels : il y aura
quatre sons qui seront manifestes ou non et présents dans les qualia E et trois sons qui restent non
manifestes et qui n’interviennent pas dans les qualia E mais qui viennent s’ajouter aux possibilités des qualia M, dans lesquels on retrouve donc
sept sons non encore dissociés.
À l’état
fondamental, sous l’effet de la diffraction et des interférences
consécutives, le milieu est constitué de qualia
M et G, mais les qualia de son,
n’ayant aucune forme précise, sont indissociés entre eux, de sorte qu’il est
possible de parler de milieu sonore, bien qu’il y ait aussi de la lumière
diffractée comme une seule irisation, qui ensuite deviendront des lumières
diffractées et corrélées ou non à un son précis, et dans le cas des qualia E, il y a corrélation.
Chacun des sons différents doté d’un
seul mode de vibration, et non corrélé à une lumière, formera à terme un anti-qualium, lié à au qualium M qui lui correspond ; de la même manière, chaque
lumière irisée diffractée en sept qualia
G, mais indissociés s’isole des autres lumières et du son dans lequel elle
baigne sous forme d’anti-qualia de
lumière irisée. Il y a un seul type d’anti-qualium
M et de même pour l’anti-qualium
G, mais chacun aura en lui 7 modes de vibration différents. En d’autres
termes, un qualium M est sept
couleurs ayant le même mode de vibration unique, et un anti-qualium M est une couleur irisée
unique possédant sept modes de vibrations différentes. Et de la même manière
pour les qualia et anti-qualium G.
Il y a donc, à l’origine, deux qualia de lumière blanche, l’un, le qualium Ebl, qui formera la
matière des réalités relatives, et mais il y a aussi une autre catégorie :
l’un des sept modes de vibration des anti-qualia
de type G, sera blanche, qui formera la colle de l’espace-temps, dans un
milieu sonore homogène, permettant l’avenue de réalités relatives, parce qu’ils
sont du son pur ou de la lumière pure, qui ont été affectés l’un par la
lumière, l’autre par le son, ce qui implique qu’ils sont en soi absolument
cohésifs. Ce qui implique à terme donc quatre qualia E primordiaux et 24 cordes E simples, sept qualia G indissociés et sept qualia M, indissociés, et de même un
anti-qualium M et un anti-qualium G, tous deux dissociés
selon sept formes de vibration.
En d’autres termes, dans l’état qualique, il y a les qualia E qui sont réunis par
l’attraction de la lumière bleue, soit des qualia
bleus, Ebe, et hors de l’effet attractif des qualia bleus, restent les qualia
M et G et leur forme affaiblie les anti-qualia
qui ne sont pas soumis à cette attraction bleue, mais qui sont soumis à une
autre attraction qui va diffracter le son en sons différents, c’est celle des qualia E noirs.
Ce que cela signifie, c’est que les
anti-qualia et les qualia interagissent entre eux au niveau
global. C’est parce que dans les qualia
E, les sons et les lumières sont diffractés qu’ils deviennent différents et
fondent un état lumineux ou un état sonore différent qui interagira avec le son
et la lumière anti-qualia. En
d’autres termes, les qualia E se
forment sous l’effet des qualia
bleus, mais une fois formés, ils vont interagir avec le milieu sonore et
lumineux non dissociés de sorte de les dissocier en anti-qualia M ou G, sous l’effet des qualia noirs.
À l’origine, dans le qualium cosmologique originel, il n’y a
que deux types généraux de qualium, M
ou G, à l’état fondamental, mais ceux des qualia
M ou G qui sont incompatibles, et opposites vont rester isolés, et ceux qui ont
une vibration compatible, complémentaire et possiblement attractive et qui
seront aimantés les uns aux autres vont devenir les qualia et anti-qualia E
ou les anti-qualia M et G.
Les qualia E ont une vibration dite
positive, ou attractive, et les qualia
M et G ont une vibration dite négative ou répulsive, avec les qualia E mais non entre eux.
Cela ne signifie pas que les qualia M et G sont un seul son ou une
seule lumière, en effet, le son et la lumière à l’état fondamental sont
affectés par le Big Bang II qui en multiplie les formes de couleurs. Le son M
contient en lui toujours sept sons non dissociés qui vont interagir avec les
quatre sons non manifestes des qualia
E, et la lumière G contient en elle toujours sept lumières non dissociées en
une seule couleur irisée, qui va interagir avec les quatre couleurs des qualia E, à l’état qualique.
Comme chaque anti-qualium de son ou de lumière ne peut avoir qu’un seul son, ou une
seule lumière différant selon sept modes de vibration, ces vibrations vont
résulter de la friction entre les quatre qualia
E et le mode de vibration du qualium
M ou G, ce qui donne toujours une seule possibilité d’anti-qualium primordiaux M et G car les qualia M et G vibrent sur une seule
modalité de vibration.
Les sept qualia M sont indissociés, cela signifie qu’ils sont un même
ensemble qui va prendre une certaine couleur, un certain aspect de son, général
en fonction de l’interaction avec les qualia
G et E. Et chaque qualia de son
non-dissocié du milieu qui va se dissocier du milieu général à l’état qualique sous l’effet des qualia E, pour redevenir un son
particulier qui existera dans le milieu sonore, ce que l’on nomme un anti-qualia. Il y aura sept sons non
dissociés, les qualia et un son
dissocié selon sept aspects, les anti-qualia.
Or, comme le son forme, à terme, le
milieu où va émerger l’espace-temps et le constituer, il y aura à terme sept
possibilités d’espace-temps, selon l’aspect qui sera retenu comme aspect
général du son. Ainsi, chaque système organisé de groupes de cordes auront
retenu un aspect, une couleur particulière du son, soit dissocié du milieu
sonore initial.
L’anti-qualium G contient aussi sept couleurs : trois sont non
manifestes, quatre sont « visibles », et sont aussi les couleurs des qualia E, bien qu’elles en diffèrent. La
lumière interagira toujours avec elle-même, et de la même manière le son, ce
qui donne 28 possibilités d’interactions lumineuse ou sonore, il y aura donc 24
cordes simples EM et 24 anti-cordes simples EG. À quoi il faut ajouter les
quatre cordes ME sonores primordiales et les quatre anti-cordes lumineuses GE
primordiales.
Le milieu sonore que forment les qualia de son, et l’unité que fondent
l’énergie, la masse et la vitesse, c’est-à-dire l’équivalence de la matière, de
la lumière et de l’énergie qui sont le même à l’origine, soient des qualia E blancs dégradés selon ses trois
formes possibles (lumière, matière, énergie) par le son et les interactions
avec les autres qualia E, mais aussi
avec les qualia G, tout ceci montre
que l’espace-temps fondé par les qualia
M est un milieu à l’origine sonore.
Cela implique, tout d’abord, lorsque un qualium G entre en relation avec un qualium M, avec lequel il est
compatible, qu’ils produisent un qualium
E blanc, et lorsqu’un qualium E
blanc, son et lumière, entre en interaction avec un qualium E blanc, le qualium
E blanc devient un qualium E noir.
Ensuite, lorsqu’un qualium E noir
entre en relation avec un qualium E
blanc, cela donne un qualium E bleu.
Lorsqu’un qualium E noir entre en
interaction avec un qualium E bleu,
cela donne un qualium E orange. Mais
lorsqu’un qualium noir entre en
relation avec un qualium noir, cela
donne un qualium noir. C’est de cette
manière que non seulement le son M diffracte la lumière, mais qu’avec la
lumière G ils produisent les qualia
E.
Il ne faut pas confondre les quatre qualia primordiaux macrocosmiques et la
formation des qualia microscopiques
dans le qualium cosmologique
primordial Ols : dans le qualium
Ols, toutes les lumières existent en même temps, mais pour ce qui concerne la
formation des qualia E, tout dérive
de l’interaction originale du son et de la lumière irisée. De cette manière on
comprend que les anti-qualia E sont
formés sur le modèle des qualia E,
mais du point de vue du son : lorsque les qualia M et G interfèrent ensemble, ils ne donnent pas seulement
des qualia E de lumière dans le son,
mais aussi des qualia E de son dans
la lumière, que l’on va nommer des anti-qualia
E.
Ce que cela signifie, c’est que le qualium E blanc, qui inclut en lui le
son et la lumière, est le premier à apparaître et qu’à l’origine, les autres qualium E n’existent pas, ils sont le
fruit de la dégradation d’un qualium
E blanc par l’interaction avec eux-mêmes ; tous les qualia E blancs ne sont pas dégradés, certains restent en l’état,
blancs, contenant le potentiel de l’ensemble sans se diffracter,
pourquoi ? Parce que le milieu sonore n’est lui-même pas encore dissocié
en anti-qualia de son M et en
anti-qualia de lumière G, au
moment où les qualia E se forment. Ce
n’est qu’ensuite une fois formés que les qualia
E vont interagir avec les qualia de
son M pour à leur tour les dissocier, et ainsi produire les anti-qualia de son M, et il en va de
même pour la lumière, où les qualia
de lumière G vont produire leur anti-qualia
G, sous l’effet de leur affectation par les qualia E.
C’est dans le milieu non dissocié des qualia de son que vient à émerger la manifestation,
tout d’abord des cordes et anti-cordes, puis des systèmes de cordes et
anti-cordes, et enfin les systèmes quantiques, et, au fur et à mesure de cette
évolution, les qualia de son et de
lumière évoluent. À l’état fondamental,
ils sont purs son et lumière non dissociés, au niveau qualique ils vont se
dissocier et produire leurs corolaires les anti-qualia, M et G, quand les qualia E eux-mêmes commencent à interagir ensemble pour former les
quatre cordes primordiales doubles E et les anti-qualium M et G.
Lorsque sont apparus les anti-qualia M et G, et que les
24 premières cordes simples issues des qualia
E se forment, le milieu sonore initial se dégrade en espace initial, lorsque
les cordes complexes se structurent en groupes, le milieu initial devient le
milieu à l’état initial, et lorsque les systèmes de groupes organisés de cordes
apparaissent, alors apparaît dans le même temps l’espace-temps, produit par
l’interaction entre ces systèmes et le milieu à l’état initial, et dans cet
espace-temps, produit par l’action du système particulier sur le milieu à
l’état initial, les réalités relatives émergent dans ces systèmes et commencent
à se déployer, elles le font concomitamment et dans le temps et dans l’espace.
L’espace-temps est donc constitué d’un
fond sonore entré en interaction avec au final les cordes, les anti-cordes et
la lumière sombre. C’est donc le son qui devient milieu, puis présence, puis
espace-temps, puis espace et temps dissociés au niveau classique d’observation.
L’espace-temps est du son dissocié et transformé par ses interactions avec les qualia E, et les anti-qualia M.
Comment le milieu sonore devient-il la
présence pure, puis le milieu à l’état initial, puis l’espace-temps, et enfin
l’espace et le temps ? C’est une chose que je n’ai pas encore suffisamment
bien comprise pour l’expliquer.
Les qualia
sonores, en revanche, sont isolés comme un milieu non dissocié, cela signifie
qu’au départ, tous les qualia de son
sont indissociables, ils vibrent sur la même forme de vibration qui n’est pas
une fréquence, mais qui forme un milieu vibratoire sensible propre à expliquer
comment les autres qualia de lumière
vont venir interagir avec eux, en étant affectés, pour les uns, par le milieu
sonore, et non affectés pour les autres.
Les qualia
de lumières sont dissociés, à partir de l’état
qualique, et toute la chaîne d’interaction que je présente ne forme en
réalité qu’un temps très restreint, et bien que le temps n’existe pas, de sorte
que tout se produise simultanément comme une réaction simultanée.
Ce qui va produire l’apparition de ce
que l’on nommera temps est précisément la dissociation des qualia de son en qualia
et anti-qualia de son. Nous pourrions
dire qu’il n’y aurait qu’un seul qualium
de son, ce qui est vrai à l’état
fondamental, mais se révèle faux à l’état
qualique, car la formation des qualia
E et leur impact sur le milieu transforme et dissocie les qualia M, ce qui produit une différenciation et une dissociation du
milieu vibratoire en une somme toujours homogène d’anti-qualia de son, qui alors prennent la forme d’un son qui commence à
différer de lui-même.
Les anti-qualia M ne sont pas les négatifs des qualia M, mais ils pourraient être considérés comme le négatif en
soi du milieu sonore homogène, en d’autres termes, ils sont les qualia qui se différencient du milieu
sous l’effet des qualia E. Lorsque
les qualia de son M indissociés
entrent en contact avec les qualia de
lumières G, la divergence de la lumière produite par l’interaction avec le son
impacte le son et produit une intrication qui génère les qualia E, lesquels en retour vont impacter le son et la lumière
pour former les anti-qualia M,
et les anti-qualia G. cette
action est instantanée, on peut donc dire que les qualia E et anti-qualia M
et G apparaissent en même temps.
L’évolution est très rapide, mais elle
se ralentit au moment où les qualia
s’organisent en cordes, et se stabilise lorsque les cordes se regroupent pour
donner des cordes complexes. Mais le milieu sonore, quelque soit sa forme
restera toujours homogène, comme un tout. Les anti-qualia ne viennent pas rompre l’équilibre du milieu sonore, au
contraire, ils viennent stabiliser ce milieu, en créant une polarité que l’on
nommera plus tard l’espace et le temps, et qui n’est autre que la présence
polarisée.
En d’autres termes, la présence c’est du
son affecté, d’abord, avant de devenir de l’espace et du temps. Les qualia et anti-qualia G, eux, prennent part à l’élaboration structurelle de
l’espace-temps, ils ont une fonction qui assure la forme de l’espace-temps. Ils
ont part dans la stabilisation du milieu sonore. Les qualia et anti-qualia G
forment une trame qui vient coller la structure spatio-temporelle quand de
milieu à l’état initial, elle devient espace-temps.
Le milieu sonore, stabilisé par les
anti-qualia M, est strié d’une
structure lumineuse à trois couleurs qui lui est hétérogène, et qui forme un
réseau lumineux qui parcourt ce milieu et le stabilise, en le collant ensemble
comme une structure une et homogène, ce sont les qualia Ġ. En d’autres termes, l’homogénéité de l’espace-temps est
fondée non seulement sur la non-dissociation des qualia M stabilisés et polarisés par les anti-qualia M, mais aussi sur la présence dans le milieu de qualia Ġ altérés qui forment ce réseau
hétérogène qui soutient la structure de l’espace initial mais pourtant en soi
homogène et forme un tout homogène comme espace initial.
On peut déduire que les qualia et anti-qualia M participent à l’élaboration de la structure de
l’espace-temps et que les qualia et
anti-qualia G participent à la forme
de l’espace-temps et à sa stabilisation. La structure est sonore, la forme est
lumineuse. L’espace-temps n’est donc non pas une entité une et propre mais déjà
l’intrication de trois choses, c’est pourquoi sa formulation classique ne
permet pas l’élaboration d’une gravitation quantique, car la gravitation
classique ne tient en compte que la structure homogène finale que nous pouvons
observer, mais non sa structure réelle et sa forme réelle, que nous n’avons pas
encore observées.
La courbure de l’espace-temps est
précisément le tissu ou la trame lumineuse de qualia/anti-qualia G qui
se courbe et se meut lorsqu’elle entre en contact avec la matière formée à
partir des qualia E blancs à
l’origine. C’est la différence entre les qualia
E et les qualia G qui rend possible
cette courbure, parce que les qualia
E et G diffèrent au point de ne plus pouvoir s’assimiler les uns aux autres,
ils demeurent en l’état hétérogènes, et d’autre part, l’intrication son et
lumière E qui forme la matière blanche ayant les propriétés des qualia E bleus et oranges, et étant plus
dense que la forme qualique G, l’intrication E agit sur la forme qualique G
qu’elle déforme. En d’autres termes la matière émergée de l’intrication E
déforme la forme spatio-temporelle.
La forme et la structure
spatiotemporelle sont dites qualiques, car elles conservent la trame unifiée du
son et de la lumière, présente à l’état
unifié, mais dégradée au niveau fondamental,
puis encore au niveau qualique où se
forment les qualia E et anti-qualia MEG, pour devenir au niveau des
cordes le même milieu dégradé relativement au milieu d’origine, mais stabilisé
par le phénomène des anti-qualia M
et G et l’apparition des qualia
Ṁ et Ġ.
En d’autres termes, où les qualia E vont être notamment dégradés et
transformés par cette réaction en chaîne, les qualia et anti-qualia M
et G vont rester très proches de leur point d’apparition, et de leur structure
et forme d’origine, de l’état qualique,
de sorte que l’espace-temps n’aura qu’une différence formelle avec le milieu
sonore d’origine à l’état unifié, lorsqu’il
apparaît comme tel à l’état cordique.
Il y a bien une dégradation, mais non
pas une transformation notable relativement au milieu d’origine. La différence,
mais elle est de taille, va consister en la mise en place d’une structure
informelle quant au milieu sonore, au début, la variation vibratoire est
homogène entre le son et la lumière, à la fin, elle ne l’est plus, mais la différance
produit un état qui va rendre possible l’apparition de ce que nous nommons
l’espace-temps dans notre référentiel.
Cet état informel à l’observation est
cependant tout-à-fait stable, homogène, mais doublement vibratoire : la
vibration sonore et la vibration lumineuse ne sont plus identiques, cette
différence induit : à l’état unifié,
il s’agit d’une trame unifiée, mais la dissociation vibratoire qui se fait à ce
moment force le son à devenir un milieu et la lumière à rester sous forme de
trame qui parcourt le son. Cet état se conservera jusqu’au niveau qualique, puis, au niveau des cordes,
pour les qualia Ġ et Ṁ, mais sera
profondément altérée pour les qualia
E.
La conservation du milieu comme un tout
homogène qui se forme au niveau qualique,
restera identique jusqu’à la polarisation des qualia M et G par les anti-qualia
M et G. Au niveau des cordes, ce milieu sonore initial se
structurera donc d’une manière polarisée à double titre : selon les qualia et anti-qualia et selon le son et la lumière, c’est cette double
polarisation qui forme une intrication MG sous la forme d’une structure
formelle unifiée qui, lorsqu’elle sera achevée, et donc stabilisée, va être
nommée espace-temps, du point de vue sonore.
Le temps comme l’espace sont, à
l’origine, du son et de la lumière.
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