Il y a une série d’actions en chaîne, à partir de la première interaction du premier son primordial dans la lumière primordiale, mais il n’y a que deux Big Bang. Le Big Bang 2 pourrait effectivement être comme un miroir qui réfléchit notre monde. Derrière ce Big Bang 2, depuis notre perspective, l’autre côté du monde, en quelque sorte. Le Big Bang 1 est celui qui a créé de part et d’autre quatre qualia et anti-qualia primordiaux E. Le Big Bang, c’est l’instant où le son rencontre la lumière, où il la diffracte dans le cas du premier Big Bang, et où il est diffracté par elles en plusieurs sons dans le cas du second Big Bang. Les Big Bang sont donc la pure vibration du son et de la lumière. Chaque qualium est particulier en fonction de cette vibration primordiale et de la couleur dominante qu’il possède.
Notre Big Bang 2 ressemble à un tore, il
est constitué de lumière noire pour le qualium
Os, mais aussi d’énergie jaune, sur sa marge, qui en fait est la frange d’interférence
entre l’énergie or et la lumière noire, cela apparaît jaune.
Voici schématisé la chaîne des contacts
sons et lumières et leurs effets :
Au niveau du Big Bang 2, il y a l’action
principale, et deux implosions secondaires, de chaque côté du Big Bang II, qui
ne provoquent pas de Big Bang, mais qui sont absorbées par le Big Bang 2, où
elles deviennent la couleur principale de la lumière de la manifestation de
part et d’autre, dans laquelle les mondes vont se former ou non. L’explosion de
notre côté sonore du qualium Os a
commencé l’univers, en transformant l’état
élémentaire de la Réalité Sonore en état
unifié de l’univers, cette explosion à l’initiale de notre univers n’est
pas un Big Bang même si nous la nommons ainsi,
Ceci signifie que dans les autres qualia primordiaux, on ne trouvera pas
la configuration du nôtre, Os, et ceci explique que les mondes y soient
différents, ou n’existent pas sous forme de monde. Le son primordial lui est
irreprésentable, tout comme l’est la lumière primordiale, au sens où il ne peut
faire l’objet d’aucune compréhension mentale, et bien que nous pourrions
toujours le représenter par un symbole.
La Réalité Sonore n’est pas seulement la
somme de toutes les réalités relatives dont la nôtre, elle est ce qui contient
l’univers lui-même, elle est l’espace de la réalisation ou de la manifestation
potentielle de tous les mondes et de toutes les énergies, elle forme donc ce
que nous nommons le Réel, en tant qu’il n’est encore pas déterminé sous forme
de réalité, mais demeure en l’état rien de manifeste. Il y a des réalités
relatives dites simples, qui ne s’enchevêtrent avec aucune autres, ceci est
rare, mais il y a surtout des réalités relatives dites complexes, qui sont le
fruit de l’imbrication avec d’autres réalités relatives, de sorte qu’il soit
bien difficile de les décrire simplement. La Réalité Sonore est elle absolue.
Ce que nous nommons monde réel ici n’est
pas l’ensemble des choses réelles mais l’idée même de Réel, l’idée, réalisée,
que quelque chose comme la matière ou l’immatière et la pensée puissent exister,
et avant qu’elles ne soient manifestes. C’est pourquoi les autres types
d’informations sont séparées du monde Réel par le non monde, il faut que les
autres types d’informations ne puissent pas devenir elles-mêmes réelles, sous
peine de perdre leur information comme telles ; tout l’ensemble Réel,
univers et réalités relatives, est donc coupé des autres types d’informations
par le non monde, afin que celles-ci puissent se manifester dans les réalités
relatives comme idées ou images de monde non réels.
En d’autres termes, les différents types
d’informations, idées ou images de monde, sont présentes d’abord à l’état de
pensées, soit de sons, et d’image, c’est-à-dire de lumière, et ne peuvent
manifester leurs formes d’existences dans la Réalité Sonore et dans les
réalités relatives que sous forme d’idées, ou d’images : ce sont donc des
modes d’être ou d’exister qui sont différents et qui diffèrent aussi du mode
d’être ou d’exister de manière réelle. Les réalités relatives sont formées de
l’ensemble de ces idées ou images de monde, chacune selon son mode propre.
Ainsi les images et idées s’enveloppent les uns les autres dans la Réalité
Sonore, mais se développent et se déploient dans chaque réalité relative, de
manière singulière à chaque réalité relative, qui est précisément un potentiel
singulier qui se déploie, dans l’univers. D’où l’infinité du possible.
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